Fermeture définitive du blog
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À mes chers lecteurs du Vilain Petit Canard
Je vais mettre le blog en pause, et cette fois, ce sera définitif. Non que j’en aie assez d’écrire pour des prunes, non, ça j’ai l’habitude, mais pour de graves raisons de santé. Dès lors, il ne me sera pas possible de maintenir le blog.
L’abonnement chez mon hébergeur court jusqu’aù 09.08.2024, après cette date tout disparaîtra.
Néanmoins, pour les archivistes, j’ai réalisé une copie locale avec HtTrack que vous pouvez télécharger ici. Il suffit de décompresser ça sur un coin de disque dur, d’ouvrir le répertoire et cliquer sur « index.html ».
L’application d’aggrégation de flux RSS (FreshRSS) cessera elle-aussi de fonctionner. Pour ceux que cela intéresse je place ici en téléchargement le fichier OPML (soit toutes les adresses des médias repris, dans leurs catégories respectives). Ceux qui savent utiliser un aggrégateur RSS sauront en faire bon usage.
Bonjour,
Je vous souhaite de tout cœur le meilleur pour la suite et que tout aille pour le mieux.
Encore merci pour la tenue du blog.
Gédé
Merci pour votre gentil message : je crains cependant que cela aille rapidement vers le pire, mais tout le monde doit bien mourir un jour, n’est-ce pas?
Bonjour,
De mon point de vue, ce n’était pas « pour des prunes » que vous travailliez mais je comprend bien votre sentiment et la nécessité de gérer les priorités et les efforts en fonction du temps et de l’énergie dont vous disposez.
Je vous souhaite de tout cœur tout le bonheur du monde à vous et aux vôtres.
Cordialement,
John V. Doe
Oh ce n’est même plus une question de « priorités » à ce stade. Merci en tout cas pour votre gentil message.
Bonsoir,
Merci pour l’ensemble de votre travail. Et, oui, vous êtes lu, peut-être par peu de gens, mais la crème !
Meilleurs souhaits pour votre santé en espérant que les choses resteront supportables… Je suis un peu dans le même cas…
Au revoir,
Fran
Merci ça fait chaud au coeur, surtout que ceux qui ne sont pas dans ce cas ne peuvent pas réaliser pleinement à quoi on est confrontés.
J’avais trouvé une jolie formule quand j’étais jeune : « Pas tant la mort que l’idée qu’on s’en fait ». J’ai presque aussi peur d’avoir peur que de la douleur.
Philippe